«Il ne faut pas enfouir ses blessures, il faut les traiter et en faire sortir le poison»
19 février 2015
Militant antiapartheid, le père Michael Lapsley a perdu ses mains et un œil lors de l’explosion d’une lettre piégée en 1990. Dans l’ouvrage autobiographique, qu’il présente actuellement en Suisse romande, il raconte le chemin de sa guérison intérieure. Il travaille aujourd’hui à casser les chaînes de blessures et éviter que les enfants des opprimés ne deviennent des oppresseurs.